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L'AVOCAT DU PERMIS

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Jean-Baptiste le Dall, Avocat, Docteur en droit anime et dirige l'un des rares cabinets d’avocats tourné vers le droit automobile.

 

Président de la Commission ouverte droit routier du barreau de Paris, et Directeur scientifique des Etats généraux du droit automobile, Maître le Dall commente le Code de la route aux Editions Argus de l’assurance.

 

Auteur de nombreux écrits et d’ouvrages de référence en la matière comme le « contentieux de la circulation routière » aux Editions Lamy « Réglementation automobile » (Argus de l’Assurance), le Guide du véhicule de collection (ETAI), il  est membre du comité de pilotage du périodique spécialisé « La Jurisprudence automobile ». Vous pouvez également retrouver chaque semaine Me le Dall pour la chronique auto sur lci.fr

 

Confronté quotidiennement aux problématiques très spécifiques du permis à points, le cabinet d'avocats LE DALL mettra à votre service toutes ses compétences et son expérience pour préserver vos droits et surtout votre permis de conduire. 

 

L'actu du droit automobile et du permis de conduire sur :    

   

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 15:27

Maître le Dall fait le point pour les utilisateurs de STOP PERVENCHE

 

 

MAJ 2020 : avec la loi du 24 décembre 2019, le délai de récupération a été réduit passant de 30 à 15 jours ! Au passage la procédure d'évaluation par expert en automobile a été supprimée au profit d'un classement automatisé.

Le décret publié au JO le 4 mars portant diverses mesures de sécurité routière porte bien son nom, c'est un véritable fourre-tout. Les dispositions qui ont été commentées dans la presse concernent principalement l'interdiction des avertisseurs de radars. D'autres médias plus spécialisés ont pu s'étonner de l'obligation future pour les motards de porter un brassard jaune (pourquoi cette mesure ne concerne que les 2R de plus de 125 cm3 ? Pourquoi une entrée en vigueur dans un an alors qu'il paraît que cette mesure pourrait sauver des vies ?...) Mais je le disais les mesures sont très diverses... et parfois bien cachées. Dans ce registre du bien caché : l'article 14. Ouvrons donc les guillemets :

 

Article 14 du Décret n° 2012-3 du 3 janvier 2012 portant diverses mesures de sécurité routière : 

« Au b du 5° du II de l'article R. 325-32, les mots : « quarante-cinq jours » sont remplacés par les mots : « trente jours ». »

 

Les lecteurs les plus curieux trouveront à la fin de cet article l'intégralité de cet obscur article R325-32 du Code de la route. Mais pour les plus impatients, je ne ferai pas durer le suspens plus longtemps.

 

Ce passage de 45 à 30 jours concerne le délai pendant lequel le propriétaire d'un véhicule ayant fait l'objet d'une mise en fourrière doit venir récupérer son bien.

 

Et la réduction de 15 jours du délai est loin d'être anodine, car laisser s'écouler ce délai entraîne la perte du véhicule qui est alors vendu par les services des Domaines. L'automobiliste ne revoit plus ni sa voiture, ni la couleur de l'argent de sa voiture !!!

 

Signalons qu'un autre délai encore plus court existe lorsque la valeur marchande du véhicule mise en fourrière a été estimée par expert à moins de 765 euros (somme fixée par arrêté).

 

Pour les curieux l'article R325-32 du Code de la route :

« I.-Cette notification (NDLA celle qui vous informe que votre voiture a fait l'objet d'une mise en fourrière) s'effectue par lettre recommandée avec demande d'accusé de réception, dans le délai maximal de cinq jours ouvrables suivant la mise en fourrière du véhicule.

 

Il y est joint un double de la fiche descriptive de l'état du véhicule mis en fourrière en cas d'absence du propriétaire ou du conducteur au moment de l'enlèvement pour mise en fourrière.

 

II.-Cette notification comporte les mentions obligatoires suivantes :

 

1° Indication de l'auteur de la prescription, du motif de la prescription, de la fourrière désignée et de l'autorité dont relève cette fourrière ;

 

2° Décision de classement prise en application de l'article R. 325-30 et indication de la faculté de faire procéder à une contre-expertise conformément aux articles R. 325-35 et R. 325-36 ;

 

3° Autorité qualifiée pour donner mainlevée de la mise en fourrière ;

 

4° Injonction au propriétaire du véhicule, s'il est soumis à immatriculation, de remettre immédiatement, sous peine d'encourir l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe, le certificat d'immatriculation à l'autorité qualifiée pour donner mainlevée de la mise en fourrière.

 

5° Mise en demeure au propriétaire de retirer son véhicule avant l'expiration d'un délai :

 

a) De dix jours pour un véhicule qu'un expert aura estimé d'une valeur marchande inférieure à un montant fixé par arrêté interministériel et déclaré hors d'état de circuler dans des conditions normales de sécurité ;

 

b) De quarante-cinq jours dans les autres cas (NDLA ET MAINTENANT 30 JOURS !!! depuis l'arrêté du 3 janvier 2012)

 

ces délais commençant à courir un jour franc après la date de notification ;

 

6° Avertissement au propriétaire que son absence de réponse dans les délais impartis vaudra abandon de son véhicule et que ledit véhicule sera, dans les conditions prévues par décret, soit remis au service des domaines en vue de son aliénation, soit livré à la destruction ;

 

7° Nature et montant des frais qu'il sera tenu de rembourser ;

 

8° Enoncé des voies de recours.

 

III.-Si le traitement automatisé mis en œuvre pour l'immatriculation des véhicule révèle l'inscription d'un gage, copie de la notification de mise en fourrière est adressée par l'auteur de la prescription de mise en fourrière au créancier-gagiste, par lettre recommandée avec demande d'accusé de réception, qui fait référence au décret n° 72-823 du 6 septembre 1972 (art. 5, 6 et 7) fixant les conditions de remise au service des domaines des véhicules non retirés de fourrière par leurs propriétaires. »

Avocat droit automobile permis de conduire

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 13:28

Les fausses rumeurs ont souvent la vie dure, ou plutôt longue et la magie du mail fait qu'elles ressugissent régulièrement. C'est en ce moment le tour de la « nouvelle tarification des retraits de points ». On l'avait déjà eu pour 2011 et peut être pour 2010, et voilà qu'elle a été remise à jour. Circulent donc, ces temps-ci, de nombreux mails sur la « nouvelle tarification des retraits de points pour 2012 ».  

 

Le mail commence comme suit :  

 

"Reçu ce jour. Ca me paraît gros dans la mesure où les contraventions encourues n'existent pas.
Je vous laisse juges :

"ça va faire très mal !!

attention !! !! !! !! !!
> > Il nous faut redoubler de prudence et d'attention pendant nos déplacement,
> > Voilà ce qui nous attend à partir de Février 2011 !
> > Le texte est passé inaperçu....................
> > le gouvernement a besoin d'argent ! ! ! !
> > Nouvelle tarification des retraits de points.
> > Petit excès de vitesse : 1 point et 72 euros ou 135 euros moins de 19 km/h .
> > Gros excès : 3 points et 155 euros entre 20 et 39 km/h .
> > 4 points et 155 euros entre 40 et 49 km/h .
> > 6 points et 1700 euros maxi entre 50 km/et plus.
> > Ceinture : 3 points et 155 euros ;
> > Téléphone : 2 points et 155 euros.
> > Stationnement : 3 points et 155 euros
> > Dépassement: 2 points, si vous accélérez ou refusez de serrer à droite lorsque vous êtes sur le point d'être dépassé"

 

Je vous épargne la suite.

 

Je ne détaillerai pas non plus les erreurs, même si tout ce qui est dit n'est pas faux. Il suffit de prendre pour exemple la dernière ligne de cet extrait. Mais justement l'accélération par conducteur sur le point d'être dépassé (soit dit en passant extrêmement rarement sanctionné) entraîne déjà retrait de 2 points...

 

Aucune raison de s'inquiéter de ce mail qui mélange fiction et réalité... Et si l'on souhaite s'intéresser aux mesures qui pourraient être adoptées à l'avenir, le plus simple est encore de se plonger dans la lecture du rapport de la mission parlementaire sur la sécurité routière dévoilé fin octobre ou encore plus simple de lire régulièrement mes articles...  

 

Jean-Baptiste le Dall,

Avocat à la Cour

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ledall@maitreledall.com
 

 

le Dall Avocat permis de conduire

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 14:11

Louis Nègre, sénateur UMP des Alpes Maritimes, vient de remettre à Thierry Mariani, Ministre des transport un nouveau rapport sur la dépénalisation des infractions au stationnement.

Le but : supprimer l'amende qui vient déjà de passer au mois d'août de 11 à 17 euros au profit d'une redevance administrative dont le montant serait librement fixé par les communes. Vous l'aurez compris l'objectif est clair augmenter à nouveau le prix de l'amende qui n'en serait plus une...

 

Cette volonté de renflouer les caisses est camouflé par un louable objectif : favoriser la rotation des véhicules. Il est vrai que lorsque la Mairie de Paris pour ne parler que la capitale supprime des centaines de places pour y installer des voitures électriques, on comprend que oui les automobilistes auront du mal à trouver une place de stationnement... Mais si l'objectif est réellement d'éviter les voitures ventouses, on pourra rappeler qu'il existe d'autres dispositifs comme le disque bleu

 

Louis Nègre parle d'un montant compris variable jusqu'à 35 euros, et nous indique déjà que certaines agglomérations pourraient fixer un tarif à 5 euros ! Les automobilistes apprécieront d'être pris non seulement pour des portes-monnaies ambulants mais en plus pour des abrutis. Comment peut-on croire que cette mesure conduise à une réduction du montant à verser...

 

On pourra également s'inquiéter des conséquences d'une dépénalisation des infractions au stationnement : qui « verbaliserait » ?, des sociétés privées obéissant à une logique de profitabilité ?

De même, on peut s'interroger sur les possibilités de contestation, et cette question est loin d'être anodine quand on lit que le défenseur des droits face au «délire bureaucratique» qui règne parfois en matière de verbalisation en est réduit à adresser au Garde des Sceaux et à la Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État une recommandation les mettant en demeure de faire cesser les poursuites engagées à l'encontre d'un automobiliste en grève de la faim...

 

Cette volonté de dépénalisation n'est pas nouvelle.

 

Louis Nègre qui était par ailleurs rapporteur du titre Transport du Grenelle 2 et premier vice-président du GART (Groupement des Autorités Responsables de Transport) milite depuis longtemps en ce sens. Et nous ne pouvons qu'espérer qu'il ait à militer encore quelques années pour cette dépénalisation. Car le rapport qui a été transmis au Ministre des transport n'est aujourd'hui qu'un rapport. C'est le gouvernement qui décidera de la suite à donner à cette idée.

 

Faisons donc en sorte que le gouvernement comprenne bien que les automobilistes ne veulent pas de ce nouveau racket.

 

Jean-Baptiste le Dall,

 

Avocat à la Cour

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le Dall Avocat permis de conduire

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 09:03

L'EAD, l'antidémarrage couplé à un éthylotest électronique arrive tout doucement. L'interdiction de conduire un véhicule non équipé d'un EAD a été mise en place par la loi LOPPSI IIpubliée au JO le 15 mars 2011 (articles 71 et 72). Cette peine complémentaire pourrait s'avérer particulièrement adaptée aux comportements sanctionnés et offrir plus de souplesse au condamné.(voir mes précédents articles sur l'EAD, sur ce site).  

Il nous manquait toutefois, quelques textes pour pouvoir utiliser cette nouvelle peine. Un premier décret a été pris le 5 septembre 2011, il prévoyait notamment les peines qui pourraient être prononcées en cas de non respect des procédures en matière d'EAD (comme faire souffler son passager).

 

Il nous manquait encore un texte précisant les conditions d'homologation de ces appareils et les organismes habilités à les installer. Le puzzle se complète petit à petit avec le décret n°2011-1661 du 28 novembre 2011 relatif aux dispositifs d'antidémarrage par éthylotest électronique.

 

Extraits :

 

« Les professionnels chargés d'installer les dispositifs d'antidémarrage par éthylotest électronique sur les véhicules non équipés par construction sont agréés, en application de l'article L. 234-17 du code de la route, par le préfet du département du siège de leur activité ou, à Paris, par le préfet de police, pour une période de cinq ans. »

« Les dispositifs d'antidémarrage par éthylotest électronique font l'objet d'une vérification annuelle de conformité, au regard des conditions posées à l'article 5. Les personnes chargées de ce contrôle sont qualifiées par un organisme désigné par le ministre chargé des transports.
Lorsque le contrôle fait apparaître qu'un dispositif ne satisfait pas aux dispositions techniques qui lui sont applicables, le détenteur est tenu de faire procéder à sa mise en conformité. »

 

 

  

Nous attendons désormais les premiers agréments préfectoraux...  

  

Jean-Baptiste le Dall,

Avocat à la Cour

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 13:01

Lors de la cérémonies de remise des écharpes d'or 2011 de la prévention routière à l'Elysée, le chef de l'Etat s'est exprimé sur les futures mesures mises en place en matière de sécurité routière.  

 

Parmi les annonces :

 

Comme d'habitude toujours plus de radars... (no comment)

 

Au détour d'une petite phrase confirmation de ce que j'écrivais hier pour les avertisseurs de « zones dangereuses », l'objectif du gouvernement est bien de rendre ce type d'appareils inutile en noyant l'utilisateur d'une multitude de signalements : « Ces radars ne seront plus annoncés par des panneaux, et ne pourront plus être signalés en tant que tel par les systèmes d'avertissement entre automobilistes »

 

De la démagogie : « L'argent de la sécurité routière revient intégralement à la route et ses usagers »

 

Pour info, d'après le projet de loi de finances pour 2012 :

Sur une recette pour 2011 d'environ 1,7 milliard d’euros (en hausse de 200 millions par rapport à l'année passée):

660 millions d’euros pour l’aide au développement des transports en commun

474 millions pour le remboursement de la Dette Nationale

460 millions pourles radars et le traitement des avis de contravention

37 millions d’euros pour doter les forces de l’ordre de nouveaux terminaux électroniques (PVE)

 

 

Un constat : « anormal qu'en 2010, 24% des morts soient des utilisateurs de deux-roues alors qu'ils ne représentent que 2% du trafic », mais pour l'instant la simple augmentation de la taille des plaques des motos ne va pas tout régler, il serait, peut être, temps de se pencher sur le problème des rails de sécurité mais c'est vrai que ça coûte cher...

 

Un souhait : le Lavia, un limitateur de vitesse qui s'adapterait automatiquement aux vitesses autorisées mais sous quelle forme on ne sait pas...

 

Et une résurrection : l'éthylotest obligatoire dans chaque véhicule, le texte existe déjà : il dort paisiblement dans les pages du Code de la route depuis les années 70, manquait simplement un texte d'application. On nous le promet pour le printemps prochain. On pourrait s'interroger sur ce délai, après tout il est simple de prendre un texte (on l'a vu par exemple pour la suppression de toutes les dispositions dans le code de la route faisant référence aux panneaux de signalisation des radars automatiques). On se doute également que le gouvernement (lequel?) aura peut être autre chose à faire au printemps prochain. Mais il faut peut être laisser le temps aux fabricants de produire ces éthylotests... Et, espérons le, aux acteurs du monde automobile (stations services, réseaux d'entretien, gestionnaires d'autoroutes) de nous les offrir... In fine, si le texte arrive, l'absence d'éthylotest dans le véhicule devait être sanctionné d'une simple amende de 11 euros d'après le délégué interministériel à la sécurité routière, Jean-Luc Névache. A confirmer toutefois, le montant me semble étrangement bas (surtout en ces temps de crise et on est déjà passé à 17 euros pour le stationnement) lorsque l'on sait que l'absence de gilet ou de triangle de pré-signalisation coûte 135 euros...

 

Signalons également que les boîtes à gants ne seront pas les seules à devoir s'équiper, hasard du calendrier, depuis aujourd'hui 5 500 établissements de nuits autorisés à fermer entre 2h et 7h du matin - discothèques, bars musicaux, cabarets ou encore bars d'hôtels – doivent désormais être équipés.

 

A consulter : l'Arrêté du 24 août 2011 relatif aux conditions de mise à disposition de dispositifs certifiés permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique dans les débits de boissons en application de l'article L. 3341-4 du code de la santé publique

 

 

 

Jean-Baptiste le Dall,

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 12:43

Ma tribune pour le Plus du Nouvel Obs, quelques précisions sur les nouveaux avertisseurs de "zones dangereuses" et la multiplication par les préfectures de ces zones qui risque de rendre ces appareils peu efficaces... 

LePLusNouvelObs

 

LE PLUS. Après un accord entre fabricants et l'Etat, les nouveaux avertisseurs de radars vont rapidement se révéler inefficaces explique Jean-Baptiste le Dall, avocat spécialiste de droit routier.

 

L'avertisseur de radar n'est plus, il prend désormais le nom d'avertisseur de "zones dangereuses" et risque de perdre de son efficacité

 

Le comité interministériel pour la sécurité routière du 11 mai dernier avait sonné comme un coup de tonnerre pour les fabricants d'avertisseurs de radar. Du jour au lendemain, leurs produits étaient déclarés non grata sur nos routes. Regroupés au sein de l'Association Française des Fournisseurs et utilisateurs de Technologies d’Aide à la Conduite (AFFTAC), ces fabricants ont immédiatement entamé des démarches pour sauver leur activité, et différentes réunions avec le ministère de l'Intérieur ont permis de sauver le business de l'avertisseur avec un protocole d'accord signé le 28 juillet. Ce protocole prévoyait un délai de mise en œuvre de six mois, nous y sommes.

 

 

La suite :

https://leplus.nouvelobs.com/contribution/218530-radars-pourquoi-les-avertisseurs-de-zones-dangereuses-seront-inutiles.html

 

Jean-Baptiste le Dall,

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