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L'AVOCAT DU PERMIS

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Jean-Baptiste le Dall, Avocat, Docteur en droit anime et dirige l'un des rares cabinets d’avocats tourné vers le droit automobile.

 

Président de la Commission ouverte droit routier du barreau de Paris, et Directeur scientifique des Etats généraux du droit automobile, Maître le Dall commente le Code de la route aux Editions Argus de l’assurance.

 

Auteur de nombreux écrits et d’ouvrages de référence en la matière comme le « contentieux de la circulation routière » aux Editions Lamy « Réglementation automobile » (Argus de l’Assurance), le Guide du véhicule de collection (ETAI), il  est membre du comité de pilotage du périodique spécialisé « La Jurisprudence automobile ». Vous pouvez également retrouver chaque semaine Me le Dall pour la chronique auto sur lci.fr

 

Confronté quotidiennement aux problématiques très spécifiques du permis à points, le cabinet d'avocats LE DALL mettra à votre service toutes ses compétences et son expérience pour préserver vos droits et surtout votre permis de conduire. 

 

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13 août 2021 5 13 /08 /août /2021 09:39
Panneaux CIF - Avocat permis de conduire

Panneaux CIF - Avocat permis de conduire

Deux nouveaux panneaux vont venir égayer le bord de nos routes pour signaler une portion à CIF, la circulation inter-files

 

Par Jean-Baptiste le Dall, Avocat à la Cour, Docteur en Droit
Président de la Commission ouverte Droit routier du Barreau de Paris
Directeur scientifique des États Généraux du Droit Automobile

 

Le décret n° 2021-993 du 28 juillet 2021 portant expérimentation de la circulation inter-files est venu rétablir la CIF à titre expérimentale. Les motards attendaient cette nouvelle expérimentation avec impatience. Par rapport aux conditions d'expérimentation définies en 2015, le nouveau cadre juridique évolue légèrement avec notamment une signalétique spécifique pour informer les usagers de la route de la circulation inter-files sur certains axes.


 

Un arrêté du 6 août 2021 est venu définir cette nouvelle signalisation routière avec deux nouveaux panneaux.

 

 

 

L'annexe de l'arrêté du 6 août précise que la signalisation expérimentale comprend :

  • un panneau d’information de type SR visant à informer les usagers de la route de la vitesse maximale autorisée en circulation inter-files,

  • un ou plusieurs panneaux B14, complétés d’un panonceau adapté du M4c comportant l’inscription « en interfiles » et d’un panonceau M9z « rappel », pour rappeler la vitesse maximale autorisée en CIF.

    Le panneau d’information et les panneaux B14 peuvent être implantés ensemble ou séparément sur des sections distinctes.

 

le Dall Avocats 2021 – Droit Auto / Moto – Permis de conduire

 

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 09:59

Tous les automobilistes se souviennent de la cacophonie générale qui a suivi le Comité Interministériel pour la Sécurité Routière (CISR) du 11 mai dernier. En cause (notamment) la question de la suppression des panneaux de signalisation des radars automatiques.   

Après de nombreux et incompréhensibles revirements, le gouvernement a finalement décidé de remplacer ces panneaux par des radars pédagogiques installés de façon plus aléatoire que les 400 mètres de rigueur avec les panneaux.

 

On pouvait s'interroger sur l'intérêt de cette mesure du strict point de vue de la sécurité routière, mais il est clair que le marketing politique a des raisons que le bon sens ignore. On reste désormais sans voix quand on découvre le coût de cette plaisanterie. Dans un entretien au Figaro, Claude Guéant explique ainsi que "le coût d'installation d'un radar pédagogique va dépendre des conditions d'implantation, mais le coût moyen est évalué à 10.000 euros". Un rapide calcul nous donne un facture d'environ 40 millions d'euros pour la mise en place des 4.000 appareils !

 

Mais le pire est encore à venir... Certains des radars pédagogiques qui ont déjà été installés sont tout simplement bons pour la benne ! C'est, par exemple, le cas pour deux appareils installés sur une portion quatre-voies de l'A 31 en Moselle. Ces appareils inadaptés au trafic sur cette portion d'autoroute délivraient aux automobilistes des informations totalement erronées... Résultat, d'après France Info, une explosion des excès de vitesse constatés par les « vrais » radars automatiques. Les chiffres se passent de commentaire : 450 flashs par jour pour ces appareils contre 230 avant l'installation des fameux radars pédagogiques !

 

Les défenseurs des automobilistes parlent souvent de piège à automobilistes mais là je ne vois pas d'autres mots...

 

Pourrait-il y avoir pire ? Et oui lorsque l'on sait qu'une note adressée aux préfets au mois de juin par les services de l'État recommandait justement de ne pas installer ces radars pédagogiques sur des axes comme l'A 31 : «Il faut restreindre leur – les radars pédagogiques - installation sur des axes à une ou deux voies de circulation dans le sens contrôlé. En effet, les radars pédagogiques permettant de contrôler plusieurs voies ne sont pas disponibles immédiatement.»

 

En attendant, les deux radars pédagogiques installés sur l'A 31 ont été retirés, mais combien d'automobilistes vont faire les frais d'une politique de sécurité routière totalement anarchique... nul ne le sait.

 

Jean-Baptiste le Dall,  

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Radars pédagogiques : les couacs n'arrêtent pas !
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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 11:57

A l'issue de la rencontre entre les fabricants d'avertisseurs de radars et le ministère de l'intérieur, un accord a semble-t-il été trouvé. Les avertisseurs n'indiqueront plus l'emplacement précis d'un radar, mais une zone dangereuse...

 

Traduction : nouvelle reculade du gouvernement.

 

afftac logo

 

Tout le monde sort satisfait de cette réunion. Par tout le monde, j'entends Claude Guéant et les fabricants. Pour le reste, les associations de lutte contre la violence routière s'étranglent sûrement en ce moment. Car ne nous y trompons pas, hier les utilisateurs s'alertaient les uns les autres d'un contrôle radar, demain ils le feront toujours mais seule la terminologie changera... Après tout une zone dangereuse peut l'être pour sa sécurité et pour son permis de conduire...

 

Le combat des fabricants d'avertisseurs aura donc porté ses fruits. En attendant la suppression des panneaux est toujours à l'ordre du jour même si la cacophonie des deux dernières semaines ne permet aucune certitude en la matière.

 

On peut, ainsi, présager qu'à terme les radars fixes ne seront plus signalés. Certains radars automatiques seront peut être précédés d'un radar pédagogiques, d'autres seront peut être déplacés... Mais les utilisateurs d'avertisseurs de « zones dangereuses » pourront, eux, en connaître l'emplacement, certes avec moins de précision que par le passé.

 

Le produit proposé par ces fabricants sera donc légèrement moins efficace mais dans la mesure où les panneaux signalant les radars auront disparu, il y a fort à parier que ce produit séduira nombre d'automobilistes.

 

Certaines mauvaises langues iront même jusqu'à dire que, finalement, le gouvernement fait là un beau cadeau à ces sociétés. Mais après tout, les membres de l'AFFTAC ne sont pas les seuls à bénéficier de la navigation à vue du gouvernement en matière de sécurité routière... les sociétés organisatrices de stage de récupération ont du sabrer le champagne après le dernier CISR. Plus de retraits de points en perspective et la possibilité de faire un stage tous les ans...

 

Qu'en pensent les automobilistes qui ne souhaitent pas investir dans un avertisseur de zones dangereuses et son abonnement mensuel ? Je laisse le soin au lecteur de se faire son opinion.

 

A lire : le communiqué de presse de Claude GUÉANT, ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l'Immigration, vendredi 27 mai 2011

 

« Claude GUÉANT et les représentants de l'Association Française des Fournisseurs et Utilisateurs de Technologies et d'Aide à la Conduite (AFFTAC), sont parvenus à un accord lors d'une réunion au ministère de l'Intérieur.

 

L'objectif d'améliorer la sécurité sur nos routes est un objectif partagé par tous les participants et la réunion de travail, très constructive, a permis à chacun d'exprimer son analyse de la situation et ses propositions.

 

Le ministre a ainsi rappelé que l'interdiction d'avertir de la position exacte des radars est une décision du CISR prise afin de faire respecter les limitations de vitesse sur tout le territoire et de sauver davantage de vies. Elle est du reste cohérente avec la décision d'enlever les panneaux signalant les radars fixes.

 

L'AFFTAC a fait valoir le souci préventif et informatif des différents produits actuellement commercialisés, communautaires ou non.

 

Les participants ont convenu d'engager un travail en commun en vue de développer un ensemble de fonctionnalités contribuant à améliorer la sécurité routière. Les services de l'Etat apporteront ainsi leur appui à la diffusion de l'information, qu'il s'agisse des vitesses autorisées, de l'état du trafic ou de la lutte contre la somnolence.

 

S'agissant du respect de la limitation de vitesse, il a été convenu que les avertisseurs de radars seront transformés en assistant d'aide à la conduite permettant de signaler les zones dangereuses. En complément des radars pédagogiques qui seront placés sur des secteurs routiers accidentogènes, les zones dangereuses seront ainsi signalées sur la longueur de l'itinéraire afin de permettre aux automobilistes d'adapter leur vitesse en fonction des limitations et des circonstances.

 

Les travaux vont se poursuivre entre les services de l'Etat et l'AFFTAC afin d'améliorer la sécurité sur nos routes, grâce au développement de technologies d'aides à la conduite et dans le respect des décisions gouvernementales.

 

Un protocole d'accord sera conclu dans les prochaines semaines afin de concrétiser cette coopération. »

 

Jean-Baptiste le Dall,  

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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 16:08
Avocat permis de conduire

Avocat permis de conduire

Les déclarations de ces dernières heures pourraient laisser penser que Claude Guéant a finalement cédé sous la pression des automobilistes et de nombreux députés.

 

Effectivement, nous ont été annoncés, ce matin, la suspension du démontage des panneaux et le remplacement des radars automatiques par des radars pédagogiques.

 

Les automobilistes vont, donc, pouvoir se dire ce soir : d'accord on nous retire les panneaux mais derrière ce panneau ne sera plus embusqué un radar automatique mais un radar pédagogique qui ne va pas nous verbaliser.

 

Automobilistes et députés frondeurs pourront se satisfaire d'une « belle victoire ».

 

Mais que va-t-il se passer ?

 

A terme, le gouvernement va se retrouver avec des centaines de radars automatiques en parfait état de marche sur les bras.

 

Ces radars automatiques ne vont pas être remisés au placard.

 

Ils vont tout simplement être redéployés sur autre une route, un autre tronçon, quelque part où l'automobiliste ne les attendra pas.

 

Et le flash, l'automobiliste ne risque pas de s'y attendre, puisque comme je l'indiquais sur ce blog l'arrêté supprimant les radars a été publié au JO la semaine dernière et tous les appareils qui permettaient une géolocalisation des radars seront devenus obsolètes en l'absence de réactualisation des emplacements...

 

Au terme d'une belle action de jeu, le gouvernement sera donc parvenu au but initial : l'opacification totale des contrôles de vitesse.

 

 

A lire également

ma tribune sur ce sujet sur le + du nouvel obs

 

 

LePLusNouvelObs

 

 

Jean-Baptiste le Dall,  

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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 10:55

  

Après plusieurs échanges infructueux avec le premier ministre à l'Assemblée nationale, et avec Claude Guéant, 72 députés de la majorité (et un Nouveau Centre) ont adressé lundi un courrier à François Fillon.

 

  

73 signataires, le chiffre n'est pas anodin, surtout lorsque l'on constate que tous les députés de la majorité mécontents n'ont pas forcément signé ce courrier. C'est, par exemple, le cas du député de la Mayenne, Yannick Favennec :

 

« j'ai reçu des messages de personnes menaçant de ne pas revoter pour l'UMP en 2012. L'un d'entre eux m'a même renvoyé sa carte UMP. » (France soir)

  

Le président du groupe UMP Christian Jacob a, pour sa part, estimé que les députés « n'ont pas tort. Les députés sont des législateurs, mais ce sont aussi des capteurs sur le terrain, et tous mes collègues parlementaires qui signent cette lettre font remonter ce qu'ils ressentent sur le terrain, sur la brutalité, la manière dont la décision a été prise". (RTL)

 

Et les critiques ne se limitent pas au banc de l'UMP...

 

Le gouvernement semble pour l'instant inflexible, François Baroin expliquant, par exemple, que "Les mesures, l'esprit et la rigueur avec laquelle nous souhaitons mettre en place ces dispositifs ne sera pas fragilisée par une quelconque initiative parlementaire" (Europe 1).

 

Car, c'est bien là que ce chiffre de 73 députés signataires prend toute sa valeur, 73 c'est assez pour soutenir une proposition de loi qui pourrait très bien emporter l'adhésion d'une large part de l'Hémicycle...

 

Rien n'est fait pour l'instant, mais après tout le monde peut changer d'avis. On se souviendra, par exemple, d'un certain Nicolas Sarkozy qui, en 2007, nous affirmait que «  ce serait scandaleux d'enlever les panneaux indiquant les radars, ils ne sont pas là pour remplir les caisses de l'Etat. » !!!

 

Jean-Baptiste le Dall,

 

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Avocat permis de conduire

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 14:01

  

Malgré les différentes actions menées par les opérateurs, et les déclarations dominicales du Ministre de l'intérieur, beaucoup d'interrogations subsistent encore sur la décision d'interdiction des avertisseurs de radars.

 

Une première interrogation tout d'abord : quels appareils seront interdits ?

 

La décision d'interdiction prise dans le cadre du Comité interministériel pour la sécurité routière (11 mai 2011) reste, pour l'instant au simple stade de la déclaration d'intention.

 

Parmi les mesures décidées lors du dernier CISR, certaines pourront être appliquées directement, d'autres nécessiteront un texte réglementaire ou législatif. Les choses peuvent aller très vite, en témoigne la publication au JO de l'arrêté supprimant les panneaux signalant un radar automatique à peine plus d'une semaine après le CISR.

 

Dans l'attente d'un texte interdisant l'utilisation des avertisseurs de radars, nous restons, à ce jour, sans certitude quant au champ d'application d'une telle mesure. Il est clair qu'elle portera sur les avertisseurs de type communautaire (dont les fabricants se sont regroupés au sein de l'AFFTAC). Mais d'autres appareils permettent également la géolocalisation des radars. Nous pensons immédiatement au GPS. La géolocalisation des radars par GPS est plus moins « active » : active lorsque les possesseurs d'un même type de GPS ont la possibilité de s'informer sur la présence d'un radar (on se rapproche alors de l'avertisseur) ou passive lorsqu'une carte des radars fixes a été préinstallée lors de la conception de l'appareil... Si le champ d'application de la mesure d'interdiction est large, ce sont en fait presque tous automobilistes qui demain seront concernés par cette mesure, bien au-delà des près de 6 millions d'utilisateurs (c'est déjà énorme) d'avertisseurs recensés par l'AFFTAC.

 

Demain, tous les possesseurs de GPS risquent, donc, de devoir mettre à la poubelle (NDLA :au tri sélectif) leurs appareils !

 

Et nous ne parlons pas des appareils installés en première monte dans de nombreux véhicules...

 

Autre interrogation : l'applicabilité d'une telle mesure

 

Certains juristes ont évoqué une éventuelle inconstitutionnalité de cette mesure au regard, notamment, d'une liberté de communication... On verra ce qu'il adviendra d'une telle argumentation avec un arbitrage à effectuer entre liberté de communiquer d'une part, et sécurité publique d'autre part.

 

Mais au-delà de ce questionnement, se pose le problème de l'applicabilité d'une telle interdiction.

 

La fouille des véhicules, demeure, en effet extrêmement encadrée avec une présence presque systématique d'un OPJ. La fouille d'un véhicule ne peut intervenir que dans certaines circonstances. On pense, par exemple, aux situations visées aux articles 78-2-3 et 78-2-4 du Code de procédure pénale.

 

Article 78-2-3 du Code de procédure pénale

 

« Les officiers de police judiciaire, assistés, le cas échéant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnés aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21, peuvent procéder à la visite des véhicules circulant ou arrêtés sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public lorsqu'il existe à l'égard du conducteur ou d'un passager une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu'il a commis, comme auteur ou comme complice, un crime ou un délit flagrant ; ces dispositions s'appliquent également à la tentative. »

 

Article 78-2-4 du Code de procédure pénale

 

« Pour prévenir une atteinte grave à la sécurité des personnes et des biens, les officiers de police judiciaire et, sur l'ordre et sous la responsabilité de ceux-ci, les agents de police judiciaire et les agents de police judiciaire adjoints mentionnés aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 peuvent procéder non seulement aux contrôles d'identité prévus au septième alinéa de l'article 78-2 mais aussi, avec l'accord du conducteur ou, à défaut, sur instructions du procureur de la République communiquées par tous moyens, à la visite des véhicules circulant, arrêtés ou stationnant sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public.

 

Dans l'attente des instructions du procureur de la République, le véhicule peut être immobilisé pour une durée qui ne peut excéder trente minutes. »

 

La simple lecture de ces deux articles permet rapidement de comprendre que la mise en place de contrôles et de fouilles visant à trouver à un appareil de type avertisseur de radars risque de s'avérer compliquée...

 

Jusqu'à preuve du contraire, la simple possession d'un téléphone portable ne doit pas pouvoir suffire à soupçonner un automobiliste d'un crime ou d'un flagrant délit....

 

A consulter l'intervention de Maître le Dall au micro de France 3

JT 13h 21 mai 2011

 

 

 

 

Jean-Baptiste le Dall,

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