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L'AVOCAT DU PERMIS

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Jean-Baptiste le Dall, Avocat, Docteur en droit anime et dirige l'un des rares cabinets d’avocats tourné vers le droit automobile.

 

Président de la Commission ouverte droit routier du barreau de Paris, et Directeur scientifique des Etats généraux du droit automobile, Maître le Dall commente le Code de la route aux Editions Argus de l’assurance.

 

Auteur de nombreux écrits et d’ouvrages de référence en la matière comme le « contentieux de la circulation routière » aux Editions Lamy « Réglementation automobile » (Argus de l’Assurance), le Guide du véhicule de collection (ETAI), il  est membre du comité de pilotage du périodique spécialisé « La Jurisprudence automobile ». Vous pouvez également retrouver chaque semaine Me le Dall pour la chronique auto sur lci.fr

 

Confronté quotidiennement aux problématiques très spécifiques du permis à points, le cabinet d'avocats LE DALL mettra à votre service toutes ses compétences et son expérience pour préserver vos droits et surtout votre permis de conduire. 

 

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3 août 2021 2 03 /08 /août /2021 17:39
Stationnement FPS Avocat Droit routier

Stationnement FPS Avocat Droit routier

Par Jean-Baptiste le Dall, Avocat à la Cour, Docteur en Droit


La rentrée risque d’être compliquée pour les conducteurs et je pense notamment aux conducteurs franciliens qui vont vouloir poser un pneu sur le macadam parisien.

 

Le coût du stationnement augmente sensiblement passant à quatre euros de l'heure en zone 2 et en à six euros de l'heure en zone 1 pour les visiteurs.

 

Les motards et scootéristes parisiens vont, pour leur part, découvrir, dès 2022, ce qu’est le stationnement payant. Ces usagers pourront toutefois bénéficier d’un forfait lors évitant le prohibitif paiement à l'heure.

 

Tel ne sera pas le cas des usagers de trois roues motorisés qui eux seront traités comme des automobilistes et devront pater une redevance de stationnement de 4 ou 6 euros de l'heure!

 

Corrélativement à la hausse du coût de stationnement, mathématiquement le coût du forfait post stationnement, le fameux FPS s’envole aussi passant à 50 € en zone 2 et même 75 € en zone 1.

 

Les conducteurs auront donc intérêt à régler la redevance de stationnement au plus vite pour s’éviter un coûteux FPS.

 

Dans la précipitation, il n’est pas rare que certains usagers commettent quelques erreurs de saisie au moment du paiement. On pense notamment au numéro d’immatriculation.

 

Mais une erreur, même involontaire, dans la saisie de la plaque d’immatriculation pourra coûter cher à l’usager puisque les opérateurs qui contrôlent le paiement sur le terrain se contentent de scanner la plaque d’immatriculation pour vérifier le paiement. Rares sont ceux qui s’approchent du pare-brise pour y chercher un ticket dont l’affichage n’est plus aujourd’hui obligatoire.

C’est la mésaventure qui est arrivée à une automobiliste strasbourgeoise qui avait réglé la redevance de stationnement mais avait commis une erreur en renseignant sa plaque d’immatriculation. Après avoir reçu un FPS d’un montant de 35 € cette automobiliste avait émis une réclamation qu’elle avait même portée jusqu’à la Commission du Contentieux de Stationnement Payant (CCSP) de Limoges. La CCSP lui a d’ailleurs donné raison.

 

La commune de Strasbourg a néanmoins porté cette affaire devant le Conseil d’État qui a suivi la position de la CCSP : « en jugeant, pour décharger Mme B... de l’obligation de payer le forfait de post-stationnement mis à sa charge par la commune de Strasbourg, que, bien qu’elle n’ait pas saisi correctement le numéro de la plaque d’immatriculation de son véhicule dans le dispositif permettant l’émission de son justificatif de stationnement, elle apportait néanmoins la preuve qu’elle s’était acquittée de la redevance due pour le stationnement de son véhicule, et alors que la commune n’avait ni établi ni même allégué que cette erreur résulterait d’une fraude, la commission du contentieux du stationnement payant n’a pas commis d’erreur de droit »

 

On retiendra ainsi de cet arrêt qu’il est « loisible d’apporter cette preuve du paiement immédiat de sa redevance par tout moyen, en particulier lorsque le justificatif remis au moment du paiement immédiat de la redevance comporte, en raison d’une erreur commise par lui, des renseignements incomplets ou inexacts. Dans ce dernier cas, il est également loisible à la commune d’apporter, le cas échéant, des éléments susceptibles d’établir que le caractère incomplet ou inexact de ces renseignements résulte d’une fraude du conducteur. »

 

Compte-tenu des tarifs de plus en plus élevé des Forfaits post stationnement, on ne se moquera donc plus des collectionneurs de tickets qui en cas de réception de FPS pourront peut-être retrouver dans leur boîte à gants la preuve du paiement…

 

Juillet 2021 - le Dall AVOCATS

Permis de Conduire – droit automobile – droit des mobilités

 

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3 novembre 2020 2 03 /11 /novembre /2020 12:18
Droit routier et confinement 2 : pas de repos pour les radars et les FPS !

Les mesures de restriction actuellement en vigueur dans le cadre de ce confinement version II offrent pour l’instant, en théorie du moins, des possibilités de déplacement (et donc de recours à un véhicule) plus nombreuses que lors du premier confinement du printemps 2020.

 

Attention toutefois : pas de confinement prévu pour les radars automatiques et les Forfaits Post Stationnement, les conseils de Me Jean-Baptiste le Dall pour éviter les mauvaises surprises.

 

Toujours possible de rouler et d'entretenir son véhicule

 

Les conducteurs ont compris qu’ils n'auront guère de difficulté à faire le plein de carburant, à faire entretenir leur véhicule chez un réparateur, à passer une visite de contrôle technique…

 

Ceux qui voudraient profiter du confinement pour prendre les clés d'un nouveau véhicule pourront même passer à l'acte.

 

Tous les professionnels de l’automobile ne sont pas, néanmoins, logés à la même enseigne. Les auto-écoles ont dû ainsi interrompre les cours de conduite. La situation est sur cette question assez particulière puisque les candidats peuvent aujourd’hui encore passer les épreuves du permis de conduire, mais ils ne peuvent plus prendre de leçon pour conserver leurs acquis… Les choses ne sont bien sûr pas gravées dans le marbre, et comme on a pu le constater par le passé : ce qui est interdit ou autorisé un jour peut devenir le lendemain permis ou prohibé…

 

Attention à ce qui change vraiment !

 

On attirera, par contre, l’attention des conducteurs sur deux points particulièrement piégeux

 

Le stationnement payant peut-être maintenu !

 

Si la quasi-totalité des municipalités avait décidé lors du confinement du printemps 2020 de renoncer à percevoir les redevances liés au stationnement de surface, ce n’est plus le cas aujourd’hui avec le confinement version deux.

 

La ville de Paris a, par exemple, choisi de ne pas basculer dans la gratuité pour le stationnement au sein de la capitale.

 

Les agents en charge de la constatation du défaut de paiement pourront ainsi dresser autant de forfaits post stationnement que d’habitude…

 

La note pourra donc s’avérer particulièrement salée pour les automobilistes qui auraient zappé le parcmètre.

 

Pour les parisiens qui auraient fuit la capitale en abandonnant un véhicule sur un stationnement de voirie, rappelons qu’il est possible de régler via leurs smartphones.

 

Une situation délicate pour certains travailleurs

 

La réduction des offres de transport, la crainte légitime d’une contamination conjuguées à la nécessité d’une activité présentielle plus ou moins importante vont contraindre certains salariés ou travailleurs à emprunter leurs véhicules pour venir travailler dans la capitale. Pour ces conducteurs qui ne peuvent pas prétendre à une offre de stationnement résidentiel le coup de stationnement journalier pourra faire exploser le budget.

 

Attention au radar automatique

 

Le coup du radar en panne : la très mauvaise histoire du confinement 1ère version.

 

On l'a peut-être oublié avec le covid mais 2019 et 2020 auront permis aux Français d’affronter à la fois des mouvements de grève et des blocages liés par exemple aux gilets jaunes. C’est à l’occasion de ces événements que de nombreux radars automatiques ont pu subir certaines dégradations. Les pouvoirs publics ont, en quelque sorte, profité de ces dégradations pour procéder à un remplacement des appareils de contrôle de vitesse.

 

Les conducteurs pourront, donc, avoir la désagréable surprise de se faire contrôler en excès de vitesse malgré l’absence du traditionnel flash.

 

Plus grave, on ne peut que mettre en garde les conducteurs contre un nouvel engorgement des services de l’ANTAI, l’Agence Nationale de Traitement Automatisé des Infractions.

 

Le printemps dernier, de nombreux conducteurs ont eu la très désagréable surprise de recevoir toute une série d’avis de contravention des semaines et même des mois après les faits.

 

En temps normal la réception d’un avis de contravention intervient relativement rapidement après les faits (on peut tabler sur une réception dans un délai de 7 ou 10 jours).

 

Ce n’est hélas pas ce qui s’est produit pour les excès de vitesse constatés au mois de mars et au mois d’avril. Des conducteurs ont pu recevoir au mois de juillet et au mois d’août une série d’une dizaine ou d’une quinzaine d’avis de contravention pour des faits constatés par radar radar automatique des mois avant…

 

À l’évidence avec un tel retard, le dispositif de sanction automatisée perd tout ce qui lui restait de pédagogie. En recevant rapidement les avis de contravention les conducteurs auraient pu adapter leurs comportements et parfois être tout simplement alertés sur un changement de limitation de vitesse qu'ils avaient pu oublier…

 

Pour ce « confinement II » on mettra donc on garde les conducteurs contre ce risque en leur rappelant que ce n’est pas parce qu’ils ne reçoivent pas immédiatement d’avis de contravention qu’une infraction n’a pas été relevé.

 

Le risque est d’autant plus important que le parc de radar automatique a été largement renouvelé…

 

Jean-Baptiste le Dall

Avocat à la Cour, Docteur en Droit

LE DALL AVOCATS 2020 – Droit des mobilités – permis de conduire

 

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 18:01

Ecotaxe, equitaxe, aquataxe les automobilistes français auront droit aussi à leur taxe… Point de manifestation, point de bonnet pour eux, mais il est vrai que les automobilistes ont, depuis longtemps, l’habitude de se faire tondre…

L’Assemblée nationale a voté la semaine passée la dépénalisation du stationnement dans le cadre du projet de loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles. Nous avions déjà dénoncé cette réforme souhaitée de longue date par certains maires en mal de financement.

La hausse de 11 à 17 euros n’avait pas encore rendu selon ces mêmes élus le PV assez dissuasif. D’où l’idée de le faire passer à 30 ou 35 euros. Seulement voilà la perspective des municipales et autres élections a, toutefois réfréné les ardeurs de quelques maires moins installés qui ont milité pour une tarification à la carte : 35 euros pour des parisiens qui, de toute façon, ne peuvent plus utiliser leurs voitures et 17 euros pour les électeurs plus contestataires…

Seulement cette tarification variable cohabite assez mal avec l’un des grands principes du droit pénal : la loi doit être la même pour tous que l’on habite à Paris, Lille, Brest ou Saint Rémy les saucisses…

Qu’à cela ne tienne, nos parlementaires n’allaient pas s’arrêter à ce genre de broutille procédurale. Si la loi pénale l’interdit, sortons le stationnement impayé de la sphère pénale…

Alors bien sûr, certains automobilistes vont sentir l’augmentation passer, ils vont également se retrouver confrontés à une jungle tarifaire délirante où le montant du forfait post stationnement variera d’une zone de stationnement à une autre. Ainsi en 100 mètres, la douloureuse pourra passer de 25 à 35 puis retomber à 32 euros…

Le fait que la gestion de stationnement de surface et notamment la constatation de l’absence de paiement puisse être déléguée laisse, également, présager un harcèlement des automobilistes avec des cadences nettement plus élevées que par le passé.

Pour résumer un tarif plus élevé et plus fréquent…

Mais l’aspect financier n’est pas le seul à faire réagir les défenseurs des automobilistes. Quid du respect de leurs droits ?

Jusqu’à présent l’automobiliste confronté à l’un des nombreux dysfonctionnements de l’administration pouvait contester la verbalisation et plaider sa cause devant le juge de proximité.

Demain, le poids de sa contestation sera moindre. La loi le prévoit : «la contestation du titre devant la juridiction compétente ne suspend pas la force exécutoire du titre. Pour l’application du premier alinéa du même 1°, la délivrance de l’avis de paiement du montant du forfait de post-stationnement vaut émission du titre de recettes à l’encontre du titulaire du certificat d’immatriculation du véhicule concerné. »

En d’autres termes, si l’on veut venir puiser sur le compte en banque de l’automobiliste, point de problème. Quand bien même, il conteste, les démarches qu’il pourrait entreprendre ne sont pas suspensives…

Mais là ne résidera pas la seule déconvenue… Et l’on comprend assez vite l’absence de caractère suspensif de la future contestation puisque quittant la juridiction de proximité devant atterrir devant les juridictions administratives et ce d’autant plus que la loi prévoit l’application du mécanisme du RAPO…

«Les litiges relatifs aux actes pris en application du présent article sont régis par l’article L. 2331-1 du même code. Les recours contentieux visant à contester le bien-fondé de l’avis de paiement du montant du forfait de post-stationnement dû font l’objet d’un recours administratif préalable obligatoire auprès de l’entité dont relève l’agent assermenté ayant établi ledit avis. Les recours contentieux dirigés contre les avis de paiement du forfait de post-stationnement sont portés devant une juridiction administrative spécialisée ».

RAPO : comme recours administratif préalable obligatoire et donc pas d’accès direct à une juridiction sans passer par la case administration. Cela n’augure, bien évidemment, pas d’un traitement des plus rapides.

Mais le pire n’est sans doute pas dans ce RAPO puisque finalement cette étape pourrait s’apparenter au traitement actuel avec le filtre opéré par l’Officier du Ministère Public.

Le pire arrivera, en fait, après le filtre avec l’orientation du contentieux vers une juridiction administrative spécialisée. Pour en savoir plus sur cette juridiction il convient de se référer au Rapport de la mission d'évaluation des conséquences de la dépénalisation du stationnement remis au Premier Ministre le 25 juillet 2013.

Ce rapport proposait, déjà, la mise en place d’une juridiction spécialisée.

« La mission propose la mise en place d’une juridiction spécifique, chargée de ce contentieux : un tribunal administratif du stationnement, installé par exemple à Rennes, sur le modèle de ce qui est prévu par les articles R 312-8 et R 312-18 du code de justice administrative, disposant d’une procédure adaptée à la nature du contentieux. Cette juridiction aurait une compétence nationale et ne serait saisie que des procédures contentieuses relatives au stationnement payant. Il apparaît à la mission que la mise en place d’une procédure adaptée à ce contentieux permettrait d’éviter toutes procédures dilatoires susceptibles d’engorger cette juridiction et n’imposerait pas une charge trop importante à l’État La mission propose que soient prévues, à l’instar de ce qui existe dans d’autres contentieux, les pistes suivantes, non nécessairement cumulatives :

– la possibilité de statuer en juge unique (article R 222-13 du code de justice administrative) ;

– la possibilité pour le président de la formation de jugement de dispenser le rapporteur public de conclusions (article R 732-1-1) et l'absence d'appel (article R 811-1) ;

– l’instauration d’une procédure écrite qui dispenserait de comparaître le requérant qui ne pourrait être entendu qu’à sa demande ;

– la possibilité de rendre une décision en premier et dernier ressort ;

– la mise en place d’une procédure identique à celle autorisée par l’article R 222-1 du code de justice administrative (rejet par ordonnance des recours qui ne pourront manifestement pas prospérer) ;

– la dispense du ministère d’avocat. »

En clair, la contestation serait portée devant cette nouvelle juridiction administrative spécialisée à Rennes qui pourrait rejeter par écrit en premier et dernier ressort les demandes des automobilistes. Peut-être sera retenue la possibilité de demander à être entendu, mais pour cela l’automobiliste devra en faire la demande spécifique et si celle-ci prospère un billet aller-retour sera à prévoir… Connaissant les tarifs pratiqués pour la SNCF, sachant que certains automobilistes devront traverser la France entière sans bien évidemment avoir la moindre garantie d’obtenir gain de cause, il y a fort à parier que de nombreux automobilistes préféreront s’acquitter du forfait post stationnement…

De là à dire que le droit d’accès au juge ne sera que théorique…

Pourtant ce même Rapport du 25 juillet 2013 insiste sur la nécessité de respecter les apparences :

« Ce nouveau régime donnera lieu à un contentieux vraisemblablement beaucoup plus abondant que le précédent, avec des avocats spécialisés qui, voyant se réduire leur chiffre d'affaires tiré de la contestation des retraits de points de permis de conduire, se reporteront sur ce contentieux en contestant notamment le contenu de l'information donnée aux usagers et par exception d'illégalité, toutes les délibérations des collectivités locales. L'organisation du régime contentieux est donc impérative mais devra respecter le droit au juge, entendu toujours plus largement par la CEDH. Ce droit doit être effectif : on sait que la procédure de contestation des contraventions routières française a récemment été condamnée.»

L’avocat que je suis appréciera la dédicace et l’attribution d’une mention de spécialisation qui malheureusement n’existe pas. On rassurera également les auteurs de ce rapport sur le chiffre d’affaires des cabinets. Effectivement le volume représenté par le contentieux administratif du permis à points diminue. A coup d’amendements bien placés, l’administration a pu surfer sur la jurisprudence parfois surprenante du Conseil d’Etat pour tenter de combler les failles du système. Les avocats « spécialisés » sélectionnent désormais de façon pointue les dossiers susceptibles d’être défendus devant les juridictions administratives. Mais comme ne manquait pas de le souligner les services du Garde des Sceaux du temps de la conférence de consensus, le droit routier représente la moitié du volume d’activité des juridictions pénales…  

Les avocats ont, donc, encore de quoi faire, les auteurs de ce rapport seront ainsi rassurés les avocats auront toujours des clients et des dossiers dont les enjeux dépasseront les 35 euros.

Mais il est vrai que certains avocats, donc ceux de l’Automobile Club des Avocats, prennent un malin plaisir à aller plaider la cause des automobilistes devant la CEDH simplement pour l’amour du droit…

Mais cela les auteurs de ce rapport le savent déjà puisqu’ils appuient leurs propos sur des décisions notamment obtenues par l’ACDA…

 

 

Jean-Baptiste le Dall

 Avocat à la Cour – Docteur en Droit

Pour les plus curieux ou les plus courageux :

le  projet de loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles :

http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0259.asp

et le Rapport de la mission d'évaluation des conséquences de la dépénalisation du stationnement du 25 juillet 2013

http://www.interieur.gouv.fr/Publications/Rapports-de-l-IGA/Collectivites-territoriales/Rapport-de-la-mission-d-evaluation-des-consequences-de-la-depenalisation-du-stationnement

le Dall Avocat permis de conduire

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