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L'AVOCAT DU PERMIS

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Jean-Baptiste le Dall, Avocat, Docteur en droit anime et dirige l'un des rares cabinets d’avocats tourné vers le droit automobile.

 

Président de la Commission ouverte droit routier du barreau de Paris, et Directeur scientifique des Etats généraux du droit automobile, Maître le Dall commente le Code de la route aux Editions Argus de l’assurance.

 

Auteur de nombreux écrits et d’ouvrages de référence en la matière comme le « contentieux de la circulation routière » aux Editions Lamy « Réglementation automobile » (Argus de l’Assurance), le Guide du véhicule de collection (ETAI), il  est membre du comité de pilotage du périodique spécialisé « La Jurisprudence automobile ». Vous pouvez également retrouver chaque semaine Me le Dall pour la chronique auto sur lci.fr

 

Confronté quotidiennement aux problématiques très spécifiques du permis à points, le cabinet d'avocats LE DALL mettra à votre service toutes ses compétences et son expérience pour préserver vos droits et surtout votre permis de conduire. 

 

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12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 17:22
le Dall Avocat permis de conduire

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COMMUNIQUE DE PRESSE  

 

Paris, le 12 mai 2011

 

Mesures du CISR : Trop c’est trop !

 

L’association «40 millions d’automobilistes » a pris connaissance des décisions du Comité interministériel de la sécurité routière (CISR), réuni le mercredi 11 mai sous la présidence du Premier ministre. Ces décisions, annoncées dans un contexte d’augmentation du nombre de tués sur les routes en avril, ont été prises, une nouvelle fois, en cédant à l’émotion, sans véritable analyse des causes de cette aggravation et sans concertation avec les usagers. En laissant ainsi des technocrates, loin de la réalité des Français, prendre des décisions arbitraires dans le secret des cabinets ministériels, le gouvernement développe un arsenal répressif inadapté et inacceptable. L’automobiliste est un citoyen responsable et ne peut pas être considéré, par principe, comme un délinquant que l’on prive de ses droits les plus élémentaires qui sont la liberté de se déplacer et de communiquer.

 

Si certaines mesures portant sur une plus grande fermeté à l’encontre d’infractions majeures, comme l’alcoolémie excessive ou les très grands excès de vitesse, sont compréhensibles par les automobilistes, d’autres vont totalement à l’encontre de l’acceptabilité sociale de la politique de sécurité routière. C’est le cas, notamment, de la suppression des panneaux d’annonce des radars fixes qui contribuaient pourtant à la vigilance des usagers dans les zones contrôlées. Cette mesure démontre à elle seule que les autorités privilégient le tout répressif au détriment de la prévention et de la dissuasion.

 

En s’appuyant sur les analyses développées par son Institut d’Etudes des accidents, l’association a identifié les différents facteurs à l’origine des accidents mortels. Ces facteurs ne se résument pas à la vitesse. Or l’essentiel des mesures proposées repose sur ce seul aspect.

 

« 40 millions d’automobilistes », avait fait aux autorités des propositions constructives basées sur la responsabilité des usagers et le respect de règles acceptables.

 

Ainsi, l’association se déclare tout à fait favorable à une présence visible et renforcée des forces de l’ordre dans tous les endroits dangereux afin d’inciter les automobilistes à ne pas commettre des imprudences. De la même manière, elle souhaite que les radars soient installés visiblement, sur les axes à fort trafic, dans les endroits à risques, afin de réguler le comportement des usagers.

 

« 40 millions d’automobilistes » attire également l’attention des pouvoirs publics, au niveau national et local, sur l’état des infrastructures routières qui ne cesse de se dégrader. C’est en particulier le cas du réseau secondaire où se produisent plus de 70% des accidents mortels.

 

Il est désormais temps de s’attaquer aux vraies causes de l’insécurité routière !

 

L’association appelle les automobilistes à soutenir ces propositions et à se mobiliser contre cette logique d’interdiction, de restriction des libertés individuelles et de sanctions. Elle les incite à la rejoindre ainsi que l’ACO et l’ensemble des Automobile clubs membres de l’UNAC, seuls membres associés de 40 millions d’automobilistes.

 

 

Elle demande aux parlementaires de soutenir notre action et d’interpeller le gouvernement.

 

 

 

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